Ce rapport apporte un nouvel éclairage sur l'impact immédiat des activités humaines sur les microplastiques atmosphériques, renforçant ainsi la compréhension mondiale de ce sujet.
Deux campagnes de mesures ont été réalisées afin de collecter les dépôts atmosphériques de microplastiques sur les toits du campus de l’École : durant le premier confinement au printemps 2020, puis pendant une période d’activité normale au printemps 2021.
Les résultats des comparaisons, les premiers du genre intégrant cette période, témoignent d’une baisse significative pendant le confinement.
Le polypropylène, le polyéthylène puis le polystyrène sont les polymères dominants identifiés. Les seules pluies ne peuvent pas expliquer ces différences et la baisse temporaire d'activité humaine pendant le confinement semble être la cause principale des taux de dépôt réduits.